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Ménopause et Évolution Spirituelle : Comment Réaligner Notre Corps avec les Cycles Cosmiques

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Le corps n’est pas séparé de la conscience

Dans des civilisations plus évoluées (qu’on peut imaginer comme des sociétés ayant dépassé les limites biologiques et matérielles que nous connaissons), la santé n’est pas vue comme une mécanique chimique ou hormonale, mais comme un état vibratoire et informationnel.


Les cycles biologiques — menstruation, fertilité, ménopause — seraient compris non pas comme des processus de "dégradation" mais comme des métamorphoses de fréquence.


Ainsi :

  • La ménopause n’est pas une perte, mais une transmutation : le passage d’un cycle créatif biologique (enfantement physique) à un cycle créatif énergétique (enfantement d’idées, d’âmes, de champs vibratoires).

  • Le corps féminin est perçu comme une antenne multidimensionnelle, un centre de réception et d’émission d’énergie cosmique.

  • La fin de la fertilité biologique n’est donc pas une "fatigue" du corps, mais une mutation du rôle énergétique du féminin.


Dans ces sociétés, on apprend très tôt à ressentir, à harmoniser et à orienter ses champs énergétiques plutôt qu’à “subir” les transformations du corps.


2. L’énergie du féminin n’est pas biologiquement limitée

Dans nos sociétés terrestres, le féminin est encore perçu à travers le prisme de la reproduction biologique. Mais dans des sociétés galactiques, l’énergie féminine est considérée comme créatrice à tous les niveaux : cosmique, vibratoire, mental, collectif. Ainsi, les êtres ne "subissent" pas de ménopause : ils changent simplement de fréquence de création.

  • Durant la jeunesse : création matérielle, corporelle.

  • Durant la maturité : création émotionnelle et communautaire.

  • Après la cinquantaine : création énergétique, spirituelle, transdimensionnelle.


Les femmes (ou êtres de polarité féminine) deviennent alors les gardiennes des champs de conscience.Elles “enfanteraient” non pas des enfants, mais des mondes, des projets, des réseaux d’énergie, des portails de savoir.


3. Le vieillissement n’existe pas comme on le conçoit sur terre

Dans une civilisation galactique, la biologie est un support du champ de conscience. Quand la conscience est élevée, alignée et connectée, le corps se régénère naturellement. Le vieillissement, ou la ménopause prématurée, n’existent pas, car ils résultent d’un désalignement vibratoire entre le corps et l’âme.


Sur Terre, le stress, la peur, la séparation du sacré et du corps, la pollution et la coupure avec les cycles naturels épuisent nos réserves vitales. Dans une société galactique :

  • On apprend dès l’enfance à s’harmoniser avec les fréquences planétaires et stellaires.

  • La régulation hormonale est auto-ajustée par la conscience.

  • Les cycles sont synchros avec les rythmes cosmiques (par exemple, les cycles lunaires, solaires, galactiques).


La ménopause précoce, telle qu’on la vit ici, serait vue comme un signal de désalignement collectif — le reflet d’une civilisation qui brûle son énergie vitale sans la régénérer.


4. Le lien entre sexualité, énergie et conscience

Dans les sociétés galactiques évoluées, la sexualité est sacrée, c’est-à-dire consciente.Elle n’est pas axée sur la reproduction, mais sur la fusion énergétique et la circulation du Qi cosmique (ou prana, force vitale universelle).


La sexualité est un moyen de :

  • régénérer le corps et l’esprit,

  • équilibrer les pôles Yin et Yang,

  • amplifier la conscience.


Ainsi, la “ménopause” n’est jamais perçue comme la fin de la sexualité, mais comme un affinement de l’énergie sexuelle, qui devient plus subtile, vibratoire, télépathique, alchimique.

Les relations deviennent des échanges d’énergie consciente, des unions de champs, non plus seulement d’organes. Cela entretient une jeunesse cellulaire permanente.


5. Ce que cela révèle sur notre société terrestre

Sur Terre, les femmes vivent des ménopauses précoces parce que :

  • elles absorbent trop de vibrations de survie (stress, peur, anxiété),

  • leur énergie créative est canalisée vers la production économique, pas la création naturelle,

  • leur corps n’est pas écouté comme un guide, mais instrumentalisé.

Nous vivons une civilisation de fuite énergétique :on dépense l’énergie vitale plus vite qu’on ne la recharge.


Dans une société galactique, le corps est le temple de l’âme, et chaque transition (comme la ménopause) est accompagnée par des rituels, des réajustements vibratoires, il n’y a donc pas de “panne hormonale”, mais une élévation du cycle.


Dans une société galactique plus évoluée :

  • La ménopause n’est pas une perte, mais une élévation énergétique.

  • Les cycles hormonaux sont autogérés par la conscience et soutenus par le champ collectif.

  • Le féminin n’est pas limité à la biologie, il est le moteur de la création cosmique.

  • L’être humain ne vieillit pas, il change de densité vibratoire.

  • La santé n’est pas soignée, elle est harmonisée.

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