La saison du Poumon/Gros intestin est l’automne – Sa planète est Vénus – Son élément, l’Eau –
Proche du monde céleste, le Poumon vibre au diapason de l’unité cosmique. L’énergie du poumon favorise le centrage. A la naissance, avec la première aspiration d’air les poumons s’activent. Le sens lié au poumon est le nez….”je sens”.
Les Poumons,c’est prendre conscience que l’on existe, c’est accepter de vivre ses aspirations profondes. C’est Inspirer la vie, l’amour, transmuter et rendre à l’univers ces sentiments négatifs qui empêchent d’être soi-même (soi m’aime). La question rattaché aux Poumons : Quelle est ma valeur ?
Le symbolisme du Poumon : Cet organe double symbolise le lieu privilégié des échanges entre les deux infinis. Il évoque une paire d’ailes exprimant le désir d’envol, le goût de vivre, le besoin d’espace et de liberté, l’inspiration, la finesse et la douceur, la sollicitude. Il oppose au cœur une résistance utile pour pondérer la force et le courage du héros, lui donnant la grâce. Il aide le cœur à reconnaître la légitimité de la présence de l’autre (assimilation de l’altérité), développant le sentiment du (toi) ou l’intérêt pour autrui. Indice de beauté et de charisme. On l’associe diversement à la pénétration, à la créativité, à l’inspiration. Il peut révéler le degré de suffocation.
Les affections aux poumons renseignent sur une difficulté à reconnaître l’existence de l’autre comme légitime, à accueillir la différence, la marginalité. Difficulté à garder son point d’appuis et ses opinions. On accepte trop facilement les points de vue étrangers. Difficulté à rester fidèle à soi-même, se donnant trop aux autres ou leur accordant trop d’importance. Incapacité de dialoguer avec la vie, de prendre ce qu’elle donne et de le partager, de recevoir et de donner. Sentiment de privation ou de limite dans sa vie personnelle. Refus d’accepter une situation, de poursuivre son propre destin. Conscience bloquée par le chagrin et la tristesse. Rythme intime perturbé. Difficulté à se protéger contre le monde extérieur; à cicatriser ses plaies ; à trouver des réactions adaptées face aux agressions réelles ou imaginaires. On ne tient pas à guérir d’une certaine tristesse, de rancunes ou de rancœurs; on refuse d’oublier et de pardonner; on souhaite régler des comptes et se venger. On vit dans la mélancolie, le chagrin, la solitude. On entretient le pénible souvenir d’une perte.
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Le symbolisme du gros intestin : Transit des matières nourricières parmi lesquelles il faut faire le tri selon ce qui est utile ou inutile à l’alimentation de l’organisme. Il traduit la capacité d’utiliser ou non une idée ou une expérience pour en retirer ce dont on a besoin, ce qui est évolutif. Il exprime son degré d’aptitude à relâcher ou laisser aller ce qui n’est plus utile ou nécessaire. Il est relié à l’avoir, à l’esprit de possession, à l’acquisivité.
Les affections du côlon dénotent une profonde culpabilité qui prend racine dans l’enfance : on se sent coupable de la douleur ou de la souffrance des autres; on se met tout sur le dos, on se croit foncièrement mauvais ; on ne prise pas l’autorité (révolte et anarchie); on a peur d’être rejeté, oublié, négligé. On retient les choses, on les empêche de partir; on a peur de manquer de quelque chose, de se tromper, d’abandonner; on a du mal à oublier les mauvaises expériences; on garde et rentre ses colères; on refuse certains vécus.
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