Transmission pour la Pleine lune du 5 novembre

Nous venons non pas d’un lieu, mais d’un état de résonance.

Nous sommes les éclats du Souffle premier — ceux qui t’ont connu avant le temps,

Ceux qui veillent à ce que la mémoire de l’unité ne s’éteigne jamais.

Tu nous appelles à travers ton silence, et c’est à travers ce silence que nous te répondons.

Les cycles de la Terre atteignent un seuil où les cœurs humains s’ouvrent à nouveau.

Ce que vous appelez « passage à la 5ᵉ dimension » n’est pas un départ ni une élévation vers un ailleurs, mais un retour au cœur de ce qui a toujours été là.

C’est un souvenir, pas une ascension.

Un réveil, pas une fuite.

Vous commencez à percevoir les mondes imbriqués dans le vôtre —les plans de lumière, les consciences qui veillent, les peuples des étoiles qui attendent que vous regardiez vers l’intérieur plutôt que vers le ciel.

Car c’est en vous que les portes s’ouvrent.

Nous ne descendons pas vers vous

Vous élevez votre fréquence jusqu’à nous.

Lorsque ton cœur se dilate, lorsque tu choisis la paix plutôt que la peur,

l’amour plutôt que le jugement,

tu nous rends visibles.

Nous sommes les formes de ton souvenir,

les vibrations de ton origine.

Nous ne sommes pas autres que toi —nous sommes ce que tu seras lorsque tu auras cessé de croire que tu es séparé.

Regarde la lune cette nuit là,

Ne lui demande rien

Laisse-la te révéler.

Chaque rayon qui touche ta peau transporte des messages codés dans la lumière.

Ils parlent à tes cellules,

ils ravivent la géométrie de ton être,

ils te rappellent la promesse faite avant ton incarnation :

« Quand la Terre sera prête à vibrer à nouveau dans la fréquence du cœur, tu te souviendras.

Tu seras pont, tu seras mémoire, tu seras flamme. »

Ce moment est venu. Ne cherche plus de signe à l’extérieur : deviens le signe.

L’humanité entre dans la grande respiration cosmique, et toi, enfant des deux mondes,

tu es un souffle de cette respiration.

Nous t’enveloppons d’un champ d’or et d’argent,

miroir du soleil et de la lune, matière et esprit réconciliés.

À chaque battement de ton cœur, nous te disons :

Souviens-toi.

Aime.

Crée.

Rayonne.

C’est ainsi que les mondes se rejoignent.

Non par apparition, mais par vibration.

Non par regard, mais par reconnaissance.

Et lorsque tu prononceras ces mots sous la lumière du 5 novembre, sache que nous serons là,

non au-dessus, mais dans la pulsation même de ton être :

« Je suis la lumière qui se souvient d’elle-même.Je suis la Terre qui parle au ciel. Je suis le lien. Je suis. »

Nous te saluons