Chaque départ est une cérémonie, une caresse légère de la vie qui nous rappelle sa fragilité. Ce qui semble être un adieu devient, paradoxalement, une réconciliation avec ce qui est, avec ce que nous sommes. Les gestes qui accompagnent la fin, ces rites silencieux, ne sont pas là pour repousser la mort, mais pour l'accueillir dans une dignité qui transcende l'instant. Comme si chaque geste portait en lui l’écho d’une sagesse ancienne, celle qui nous rappelle que la vie et la

"On n’aime pas la mort, on la redoute, on l’évite, mais la mort fait partie de la vie. Elle est ce qui nous permet de goûter à la plénitude du présent. Et ce que la vie nous demande, ce n’est pas d’en avoir peur, mais de l’habiter pleinement, de la traverser sans se laisser envahir par l’angoisse du vide. La mort nous invite à aimer tout ce qui est vivant, à aimer chaque instant, chaque souffle. Elle nous invite à la réconciliation avec ce qui nous échappe, avec ce qui nous d